Nous arrivons maintenant à la conséquence la plus importante de ce travail, celle concernant la nature de la justice et l’organisation sociale qui en résulte. Le point de départ de l’argument est le fait que nos actions sont déterminées par notre constitution biologique et notre vécu. Comme je l’ai dit (no.41), cela implique que le libre-arbitre n’existe pas. Par conséquent, comme j’ai aussi dit (no.46), si le libre-arbitre n’existe pas, cela veut dire que nous ne sommes pas responsables de nos actions.