66. Donc, le bien est de satisfaire nos besoins innés.

Comme je l’ai déjà laissé entendre (no.30) ce qui est bien pour nous est quand nous satisfaisons nos besoins. Ce qui est mauvais est quand nous ne les satisfaisons pas. À mon avis, cette définition du bien capte l’entièreté de ce que nous voulons dire quand nous pensons au bien et au mal. Par exemple, aider un aveugle à traverser la rue est bien parce que cela l’aide à combler certains de ses besoins (comme son besoin de sécurité physique et son besoin d’attachement (il se sent exister aux yeux de quelqu’un)). Par conséquent, si une action est bonne c’est parce qu’elle comble des besoins innés. En cas de conflit, il s’agit de comparer les options. L’action la meilleure est celle qui satisfait les besoins les plus importants ou celle qui satisfait le plus de besoins. Ainsi, dans un contexte donné, mentir peut être une bonne action si dire la vérité dans ce contexte nuirait à un besoin d’attachement, par exemple. Bref, le bien est ce qui satisfait nos besoins.

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