31. Donc, puisque les seuls désirs fondamentaux de nos actions sont les besoins innés, le bonheur n’est rien de plus que la satisfaction des besoins innés.

Dans le premier chapitre, j’ai démontré que lorsque nous ressentons une émotion, il y a toujours un besoin inné qui en est la cause. Dans le début du chapitre deux, j’ai démontré que chaque action doit être motivée par un désir fondamental. J’ai maintenant démontré que les désirs fondamentaux des actions ne peuvent uniquement qu’être les besoins innés des êtres humains. Autrement dit, chaque action que nous entreprenons est entreprise dans le but de satisfaire l’un ou l’autre de nos besoins innés. Les besoins innés sont donc les seuls buts qu’il est possible de vouloir atteindre par nos actions. Par ailleurs, je crois que l’on peut définir le bonheur comme étant l’ensemble des buts que nous visons par nos actions. Par conséquent, le bonheur n’est rien d’autre que la satisfaction de nos besoins innés. Être heureux est satisfaire ses besoins et être malheureux est ne pas satisfaire ses besoins.

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